Comment faire gérer vos émotions lorsque vous essayez de tomber enceinte pendant les fêtes? - Reproclinic

Comment faire gérer vos émotions lorsque vous essayez de tomber enceinte pendant les fêtes?

Pour certaines personnes, Noël peut être un moment de joie et de célébration familiale, tandis que pour d’autres, il peut être une saison de tristesse, de désespoir et de frustration.

Pas nécessairement pour tout le monde, mais pout de nombreuses personnes qui essaient d’avoir un bébé, Noël peut être une période compliquée. Cette période de l’année peut refléter leurs déceptions. Une autre année s’achève, au cours de laquelle ils n’ont pas réussi à obtenir une grossesse.

Parfois, au début d’un parcours de ferilité, nous pensons que Noël est le moment où pouvons avoir une grosses, ou que le bébé fait déjà partie de la famille. Mais lorsque ce n’est pas le cas, de nombreux sentiments de tristesse et de désespoir peuvent nous envahir.

Et ces sentiments sont tout à fait normaux. D’autres personnes peuvent éprouver des sentiments similaires à propos d’autres choses, comme le fait de ne pas avoir trouvé de travail, de ne pas avoir de partenaire ou de ne pas avoir d’appartement. Cependant, Noël ne devrait pas marquer un point final, ni un point de départ, mais plutôt un moment où nous pouvons nous pouvons passer du temps avec nos proches.

Mais il y a autre chose à ajouter. Parfois, notre environnement peut nous aider à nous sentir aimés, nous permettre de parler de ce que nous ressentons et nous aider à oublier tous ces mois difficiles. Mais à d’autres occasions, l’environnement peut être un autre facteur de stress. Je fais référence aux questions interminables liées à votre grossesse et votre bébé. Quand allez-vous avoir un bébé ? Êtes-vous déjà enceinte ? Qu’attendez-vous ?

Même si je comprends que la plupart d’entre eux le font sans mauvaises intentions, ces questions peuvent générer beaucoup de malaise chez les gens. Parfois, c’est parce que ces questions sont sans réponse, et d’autres fois, c’est parce que les réponses elles-mêmes sont douloureuses.

En ce qui concerne les questions, je dirais que c’est nous qui devrions apprendre à ne pas le poser, puisque nous sommes les personnes qui les entourent. Mais au cas où quelqu’un tomberait sur ce type de questions, et ne souhaiterait pas expliquer ce qu’il vit, il est conseillé d’avoir une phrase réfléchie qui coupe cette question et toute autre question future.

Et qu’en est-il des enfants de notre entourage que nous allons rencontrer à Noël ?

Pour certains, cela peut avoir un aspect positif et curatif. Il y a des personnes qui, malgré leurs difficiles à concevoir, saisissent toutes les occasions d’être avec des enfants, de donner et de recevoir de l’affection, et cela les remplit de bonheur.

Mais la vérité est que ce n’est que dans une minorité de cas. Dans les autres, les personnes ressentent souvent un sentiment de rejet lorsqu’elles rencontrent de petits enfants, car cela leur rappelle leur situation, et elles se sentent vides, ainsi que frustrées.

Et ce sentiment, je le souligne encore une fois, n’est pas pathologique. Dans ce cas-là, je crois que chacun devrait s’écouter pour savoir ce dont il a besoin. Je pense que personne ne devrait forcer une situation juste parce que c’est Noël.

En cette période de l’année, essayez de votre entourer de personnes qui, selon vous, peuvent subvenir à vos besoin et vous faire sentir paix.